- tous les gens de la techno parade
La galère, la peur au ventre (peur de la galère de trouver les gens qu'on devait retrouver -__-'). Vince, Caca, Caba et moi =) en route pour la Techno Parade ! Gare de Juvisy, on s'les caille, ah v'la LN et Myriam ! :P Le RER, la rencontre de l'autre groupe, sont stènes, marrants ^^ on arrive sur Paris, on trouve un McDo (chaud le McDo sans mur inclus dans une sorte de magasin Ikea en plein milieu du rayon valises :noel:). On prend à emporter et on va sur le toit de l'immeuble... Comment dire... Vue MAGNIFIQUE, non SUBLIME, non TOURISTIQUE (:noel:) sur Paris ! Trop bon de manger un McDo avec une telle vue ! Une fois fini, en route pour la parade ! C'est à deux rues ? Parfait !
Putain, y'a trop de monde ! La musique commence sur un doux Hymne à la Joie joué en direct par un violoniste du premier char, pendant que Bertrand de la Noix et Jack"no-man"land font coucou à la foule (:noel:). Et ça vire en remix electro ! OMFG ! Le meilleur son que j'ai entendu de la parade ! Sauf quand je suis passé à coté du char Drum n Bass mais bon ça... Ça ne se justifie même pas =)
Y'a trop de monde, ca gueule, ça chante, ca saute, ca essaie de danser, ca marche toute l'après midi, ça s'entre-écrase, a s'qui parait ça s'embrouille même, pas vu ça, ca se poste sur les arrêts de bus, ça s'accroches aux panneaux, aux feus rouges, ça se nique les oreilles sur une sono qu'on entend toutes les secondes pendant 1 seconde (jusqu'à ce que la prochaine bass, enfin le prochain kick, retentisse), c'est la folie, la joie de vivre, c'est fou ! Ambiance monstrueuse ! Que demander de plus ?
Ca commence à devenir trop long... Ca va 5 minutes de marcher, danser, gueuler. Putain je commençais à voir tous les points noirs de la parade et, histoire de m'achever, voila que quand on descend dans le métro de la bastille pour rentrer (à 15 000 dans un escalier), je me fais faire les poches, pousser, frapper, voler 20€, en l'espace de 15 secondes... Non, je n'ai rien pu faire. J'ai juste tenter de calmer les noirs qui m'agrippaient par le col, levant les mains en guise de "tranquil, je vous veux pas de mal", avec dans la gauche des billets et dans la droite un portable (erreur fatale), pendant que d'autres noirs me tiraient du tas pour pas que je me fasse marave maggle (:noel:), noirs que je ne remercierais jamais assez, j'ai eu la peur de ma vie à cet instant, et vous me l'avez ôtez (comme quoi, les racistes, vous pourrez pas dire que "c'est encore des fumiers de noirs qui m'ont niqué" !).
Je suis térorisé, je retrouve mes potes, la lèvre en sang, on rush dans le métro, on prend le RER, et voila que j'me calme, on en parle sereinement, et que pendant 20min une autre embrouille se forme dans le wagon, à l'étage, qui vient juste se déplacer (l'embrouille) devant notre gueule, on se laisse prendre au jeu (deux bourrés qui se frittent, Vince raisonne l'un d'entre eux, l'autre sort du RER, ca se finit). Je garde quand même un bon souvenir de cette journée. C'était marrant, dans le sens où en l'espace de quelques heures j'ai mangé une dose d'originalité pas croyable. En effet, du jamais-vu, jamais-vécu sous toutes ses formes. Ca fait plaisir de le vivre, même dans ses points les plus noirs...
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